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C'est pas la peine D'avoir appris le latin Si ça ne sert plus à rien, Même pas à la messe. Dixit Virgile, Un soir au Mont Palatin, Titire tu patule, Recubans ça se danse. Et vade retro Satana, Alleluia, In secula seculorum, Ad libitum, In vino veritas Et omnia vanitas, Civis pacem para bellum, Vade mecum, C'est pas du français Mais c'est tout comme. Moi j'aime bien Les mots qui ne prouvent rien Et je traduis A ma guise Ce qu'on dit, Quoiqu'on dise. Et vade retro Satana, Alleluia, In secula seculorum, Ad libitum, In vino veritas, Et omnia vanitas Et lorsque je bois du champagne, C'est en magnum Et je suis heureux Au maximum. C'est pas la peine D'avoir appris le latin Si ça ne sert plus à rien, Même pas à la messe. Et vade retro Satana, Alleluia, In secula seculorum, Ad libitum, In vino veritas Et omnia vanitas. Vous pouvez très bien continuer Ad libitum. Vous pouvez très bien continuer Ad libitum. Vous pouvez très bien continuer Ad libitum, Ad libitum, Ad libitum.

Cette chanson évoque le fait que le latin, bien qu'historique et riche de sens, semble avoir perdu de son utilité dans la vie quotidienne, même au sein des rituels religieux. L'artiste joue avec des expressions latines pour exprimer une certaine légèreté et une critique de l'éloignement des traditions. Il semble affirmer qu'il apprécie les mots pour ce qu'ils sont, même s'ils ne traduisent pas nécessairement des vérités profondes, et qu’on peut toujours se divertir à leur manière. Dans un ton léger et désinvolte, il fait référence à des thèmes classiques tels que l'existence, la fête et la recherche de plaisir, tout en rappelant que la vie peut être vécue avec un certain recul par rapport aux complexités des mots et des significations. Ce mélange de sérieux et d'humour souligne un contraste entre le savoir et le bonheur d’une expérience simple.