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Remonté de si loin La porte à côté du grand bleu Jamais cru que la fin Était aussi près du milieu Tombé cent fois relevé Et toujours l'Atlantique entre nous J'laisse   Mes drôles d'histoires Un peu trop noires Dans mes tiroirs J'laisse   Le temps qui reste À votre adresse Gardez-le moi Regardé d'assez près Les strates étranges du désespoir Vu le temps qu'il faisait Changé d'air pour qu'autres regards Me dévisagent me sourient Et toujours l'Atlantique entre nous J'laisse   Mes drôles d'histoires Un peu trop noires Dans mes tiroirs J'laisse   Le temps qui reste À votre adresse Gardez-le moi

Dans cette chanson, l'auteur semble exprimer un sentiment d'abandon et de lâcher-prise face aux épreuves de la vie. Il évoque des souvenirs et des histoires personnelles qu'il choisit de laisser derrière lui, comme s'il prenait la décision de se libérer des fardeaux du passé. L'Atlantique symbolise une distance, une séparation, mais aussi un espace où il peut laisser les choses derrière lui, tout en souhaitant garder un lien avec ceux qu'il aime, en leur confiant le temps qui lui reste. Le contexte pourrait être celui d'une introspection, peut-être après une période de luttes ou de réflexions sur ses choix de vie. Cela résonne avec l'idée de prendre du recul et de se concentrer sur l'essentiel, en délaissant ce qui pèse. Il s'agit d'un moment de transition, où l'on lâche prise pour mieux avancer.