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Intro : C'est fou ce qu'on peut être con L'amour rend parfois trop con Parfois trop... On chasse ce qu'il y a de pire Pour croire et pour s'épanouir Parfois trop... J'ai laissé sonner une heure pensant que mon heure avait sonné (tududu tutu tududu) J'ai lésé tous les bonheurs, pendant ce temps-là tu m'oubliais J'ai laissé sonner une heure pensant que mon heure avait sonné (tududu tutu tududu) Moi je t'attendais dehors, pendant ce temps tu m'oubliais A ta porte je me revois Les fleurs à la main, je l'aperçois Une autre que moi J'ai laissé sonner une heure pensant que mon heure avait sonné (tududu tutu tududu) J'ai lésé tous les bonheurs, pendant ce temps-là tu m'oubliais J'ai laissé sonner une heure pensant que mon heure avait sonné (tududu tutu tududu) Moi je t'attendais dehors, pendant ce temps tu m'oubliais J'ai laissé sonner une heure pensant que mon heure avait sonné (tududu tutu tududu) J'ai lésé tous les bonheurs, pendant ce temps-là tu m'oubliais J'ai laissé sonner une heure pensant que mon heure avait sonné (tududu tutu tududu) Moi je t'attendais dehors, pendant ce temps tu m'oubliais

La chanson évoque le sentiment profond de désillusion amoureuse. La narratrice se retrouve à attendre une attention et une affection qui ne viennent pas, réalisant qu'elle a perdu de précieux moments en espérant un amour réciproque. Elle parle de la douleur d’être oubliée pendant qu’elle croyait encore à une relation qui ne se concrétise pas. L'image de l'attente, symbolisée par les fleurs à la main, illustre bien cette attente vaine et l’espoir déçu. Ce morceau peut résonner dans de nombreux contextes de relations où l’on se sent négligé ou pris pour acquis, soulignant la complexité des sentiments et les conséquences d'une passion non partagée. La lutte entre l'espoir et la réalité est palpable, rendant l'expérience de l'attente encore plus poignante.