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Les enfants qui pleurent Ne sauront jamais Ni compter les heures Ni le temps qu'il fait J'ai connu Martine Elle avait treize ans Quand sonnaient matines Au clocher du temps Ma voiture est morte D'un chagrin d'amour Et derrière la porte Je t'attends toujours J'ai quitté l'école Pour courir la mer Mais la mer est folle Et bientôt c'est l'hiver Les enfants qui pleurent Ne sauront jamais La moitié de ce que je sais
Du même artiste
La chanson évoque la nostalgie et la mélancolie des souvenirs d’enfance, liés à des moments précieux et des émotions profondes. Elle parle d’un jeune homme qui se remémore une amie d’enfance, Martine, et décrit comment la simplicité de la vie d’enfant est teintée d'innocence et d’une certaine tristesse. À travers des images de désillusion, comme sa voiture usée par un chagrin d’amour ou la mer qui devient imprévisible, le narrateur souligne le contraste entre l’insouciance de l’enfance et la complexité des émotions d’adulte.
Le contexte de cette chanson résonne avec des thèmes universels tels que la perte, la quête de sens et les souvenirs qui marquent notre existence. Elle invite à réfléchir sur ce que l’on oublie en grandissant, tout en laissant supposer qu'il existe des vérités profondes qui ne se dévoilent qu'avec le temps.
Accord de
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