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(2x) C'est qui nous prend bien trop de place, ce mal sans nom que l'on se passe, à finir par terre et à sourire, à se foutre en l'air à toujours fuir. Mais à lui donner bien trop de place, il ne tarderait à faire surface, ce mal sans nom si tu t'enfuies, ce mal sans nom loin de la nuit. Oh mon ami, temps qui passe, tourne, tourne, tourne et jamais ne te lasse, dis-moi comment fais-tu ? Je vois souvent cette fille qui passe, qui jamais n'se retourne, ni me regarde en face, je me dis M la maudite. ...
Du même artiste
Cette chanson aborde le thème d'un mal insidieux qui s'installe au fil du temps, un poids dont on peine à se débarrasser. L'artiste évoque la manière dont l'angoisse et la douleur peuvent occuper une trop grande place dans nos vies, nous poussant à fuir ou à agir de manière autodestructrice. Une figure féminine apparaît, symbolisant une réalité insaisissable, toujours en mouvement sans jamais offrir de regard en retour. Cela illustre le sentiment de perte et de désespoir face à ce qui nous échappe.
Le contexte est marqué par cette lutte intérieure entre la tentation de se laisser submerger par ses démons et le désir de trouver une forme de sérénité. Au fond, il s'agit d'une réflexion sur le temps qui passe et les choix que l'on fait pour affronter ou ignorer nos blessures.
Accord de
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